Dans les pas de l'administration américaine et sur recommandation de la commission européenne, les administrations françaises seront-elles tentées de bannir Kaspersky de leur système d'informations, au profit de solutions états-uniennes ? Compte tenu du cadre législatif américain, n'y-a-t-il pas là un paradoxe à accepter que les États-Unis collectent les données de nos administrations et de nos entreprises ? Sur le plan économique, avons-nous plus à craindre des Russes ou des Américains ?